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16 novembre 1999 : VERS LA CAPITALE
Fub, Pierrot et Gali sur le quai de la gare d'Angoulême.
Comme Pierrot en Espagne, je montre un indice. Enfin là, je fais semblant
Fub et Proll, suivis de Juju viennent me
chercher pour aller à la gare. Coup de fil de la mère de Fub : " Fabien
n’a pas pris de blouson, il faut que vous vous arrêtiez pour le prendre avant
d’aller à la gare. " On ne s’y arrêtera pas…
Train de 21h45 : on a failli le rater. Merci à la dame qui nous a dit que ça avait
sifflé et que le train allait partir. En fait, c’est le N° de la voiture qui
compte !
Dans le train :
Petite (grosse) pensée pour Pierrot qui n’a pu partir avec
nous. En plus il était venu nous dire aurevoir sur le quai…
" T’inquiète Roubech, ce n’est que partie remise ! "
Même si Fub et Pierrot ont longtemps cru que je ne me rappelais pas du code de ma valise,
ce sont plutôt les serrures de celle de Fub qui paraissent fébriles.
22h35 : 1er oubli chez Fub : Pas de sweet !
22h50 : 2e oubli chez Fub : Il a oublié le T.Shirt des Girondins
pour la photo et n’a pas de shampoing cheveux.
On décide de passer à l’inventaire des valises :
objet |
Fub |
Gali |
| Sweet |
/ |
1 |
| Pantalon |
/ |
1 |
| Bermuda |
/ |
2 |
| Shorts |
3 |
3 |
| Chemisette |
1 |
/ |
| T.Shirts |
4 |
7 |
| Débardeurs |
1 |
2 |
| Short de bain |
1 |
1 |
| Slip de bain |
1 |
1 |
| Serviettes de bain |
2 |
3 |
| Slips/Caleçons |
4 |
5 |
| Chaussettes |
3 |
3 |
| Tennis |
/ |
1 |
| Claquettes |
1 |
1 |
| Trousse de toilette |
1 |
1 |
| Palmes, Masque, Tuba |
1 |
1 |
Karine est venue nous chercher en Van :
Chapitre explication de la situation : Karine est la cop's de Fub
[Feub]. D'ailleurs elle l'appelle Fabien ou Fab comme tout le monde. Dans l'intimité, je
crois qu'elle l'appelle "Mon sucre d'orge" ; pour les autres petits noms, c'est
pas que je ne veux pas vous les dire, mais c'est que je ne les connais pas. En tout cas,
y'a que moi qui l'appelle Fub !
Après m’avoir fait apercevoir la Tour Effel, elle nous fait
voir involontairement Orly avec 24h d’avance. Maintenant, c’est plutôt 30 min
de retard qu’on a…
A l’appart’ où Karine et Solange nous hébergent, un super clic-clac
m’attend. De plus, il n’y a pas de rideaux et les trains passent en bas.
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