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24 novembre 1999 : CASCADE DE SOULOU 2411.jpg (3703 octets)

  • AM : Cascade de Soulou.

Il faut prendre le taxi brousse à la différence du taxi ville. Cette fois, ce n’est pas une 205 mais une Clio. Maintenant, on peut vous faire l’article pour la nouvelle Clio : " Même sur route mouillée, elle tient bien la route ! ". C’est vrai qu’il avait la fâcheuse habitude de doubler dans les virages…
Sur la route, on se fait arrêter par les CRS Police Nationale pour contrôle de papiers. Le chauffeur nous explique qu’ils recherchent les immigrés clandestins qui arrivent des autres îles des Comores (Anjouan et Grandes Comores).

Pour arriver jusqu’à la cascade, il faut un peu marcher depuis la route : c’est en fait ce qui restera mémorable.
Au départ du chemin, on rencontre des makis pour la première fois. C’est génial : ils ne sont pas sauvages du tout. Une fois les présentations faites on s’observe de part et d’autre…
Puis habillés en short il faut parcourir un chemin infecté de moustiques…

    On arrive enfin à la cascade, très belle, avec un petit côté sauvage du fait de cette eau qui sort d’entre la végétation sur ce front volcanique et qui tombe directement sur le sable de la plage. L’eau est fraîche mais pas particulièrement claire. Heureusement, Alain nous avait prévenu de ne pas nous mettre dessous à cause de l’hygiène…

Il nous reste à faire chemin inverse pour regagner le bord de route et attendre le taxi. Les moustiques sont encore là, plus agressifs qu’à l’aller. Même en se fouettant les chevilles avec des feuilles de bananier rien n’y faisait : ils revenaient toujours à l’attaque ! Mes chevilles ont doublé de volume. C’est là qu’on s’est dit qu’il fallait suivre sérieusement le traitement à la Savarine : médicament pour ne pas avoir le paludisme. S’en est suivi une longue attente sous la pluie à l’abri d’un petit panneau touristique parce qu’on avait demandé au taxi de revenir nous chercher un peu tard. Aujourd'hui, cette journée fait partie de l’un de nos meilleurs souvenirs mais sur le coup…

 

  •      PM : On va faire un tour à Mamoudzou pour voir ce qui se fait en matière d’artisanat et commerce.

Peu de choses particulières à Mayotte à part le chapeau de Sada et les senteurs d’ylang et de vanille. Beaucoup d’articles en provenance d’Indonésie, de Madagascar, de Centre Afrique…

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